.crimes de Hamas

>> الأربعاء، 24 ديسمبر 2008

Le Hamas planifie, finance et revendique des attentats dirigés contre des civils. Il glorifie l'attentat-suicide, meurtre de masse commis au moyen d'un sacrifice humain.

Les « martyrs »
Le « shahid » (littéralement « martyr », ou « confessant ») est envoyé à la mort dans des opérations suicides après une préparation militaire et psychologique, notamment la promesse du paradis. On promet aux hommes 72 vierges et aux femmes la fidélité de leur mari.
Mère de Mahmud Alabat, mort dans une opération suicide le 15 juin 2002 (site internetdu Hamas) : « J’étais si heureuse quand j’ai donné naissance à Mahmud, de même que le jour où il a rejoint l’autre monde(…) J'ai prié pour que mon fils soit tué pendant l'attaque, pour qu’il soit récompensé par les [72] vierges au paradis. (…) Je lui avais conseillé d'être fort et courageux, de ne pas craindre les Juifs qui sont peureux, d’en éliminer le plus possible (…) J'ai été comblée lorsque j'ai su que mon fils avait tué des
Juifs lors de l'attaque.


1/ La lutte armée contre Israël
La lutte armée est inscrite dans la charte du Hamas. Le Hamas figure en tête des organisations terroristes ayant commis des attentats contre les civils israéliens depuis les accords d’Oslo en 1993.

Roquettes Qassam
Le Hamas est la principale organisation terroriste derrière les tirs de Qassam. Les roquettes Qassam, développées par le Hamas, sont faites d’un segment rempli d’explosifs et sont pourvues d’un système de guidage. Il en existe à ce jour 3 versions, la longueur de tir étant à chaque fois rallongée. En
2004, des tirs de roquettes ont tué 4 Israéliens (3 enfants et un
adulte) à Sdérot.

suicide
2/ Actions sociales et éducatives
Les activités caritatives nombreuses du Hamas lui permettent également 1) de recruter des membres auprès de la population palestinienne à des fins militaires ; 2) de récolter des fonds pour ses activités terroristes ; 3) de s’attacher les voix de nombreuses personnes. La Société de charité, l’Association Al-Islah, l’Association de charité islamique, le Comité de
charité, l’hôpital Dar al-Islam à Khan Younès ou le Bloc islamique de l’Université de Bir Zeit sont quelques unes des institutions mises en place par le Hamas pour assister la population palestinienne.
Il y a aussi des jardins d’enfants, des centres médicaux, des camps d’été. Le Hamas, en investissant des fonds pour les étudiants, recrute beaucoup dans les Universités (cas de l’Université Al-Najahde Naplouse où de nombreux responsables du Hamas à Naplouse ont débuté leur activisme comme étudiant ou professeur à l’Université).

De nombreuses actions visent à enrôler les plus jeunes : participation à des rassemblements et des parades du Hamas , sites internet pour enfants, prises en charge d’orphelins etc.

Le système social complexe mis en place vise aussi à garantir la sécurité financière des combattants palestiniens et de leurs familles. Ce qui permet la création d'un fondement social solide capable d’insuffler son idéologie dans l’esprit des combattants. « Il est nécessaire d'instiller l'esprit du jihad dans le coeur de la nation afin que le peuple confronte l'ennemi et rejoigne les rangs des combattants. Il est nécessaire que(…) les masses instruites, spécialement les jeunes et les imams du mouvement, prennent part à l'opération d'éveil. » (Art. 15 de la charte du Hamas).


En 1996, le Hamas n’a pas participé aux premières élections législatives palestiniennes pour ne pas cautionner les accords d’Oslo. « Aujourd'hui, le contexte politique a changé. Oslo est mort, l'intifada et la résistance ont changé la réalité. (…) Le peuple palestinien sait que l'intifada et la résistance sont l'unique recours » (Ismaïl Hania, haut responsable du Hamas,
Al-Jazeera, 18 janvier 2006). Depuis 2005, le Hamas cherche, comme l’a fait le Hezbollah au Liban, à blanchir son image auprès de la communauté internationale. Le Hamas, qui gère déjà plusieurs municipalités,
s’est baptisé « Parti de la réforme et du changement » pour les élections législatives palestiniennes du 25 janvier 2006.


Le Hamas se pose en sauveur du peuple palestinien en promettant de lutter contre l'anarchie,la corruption et la pauvreté tout en poursuivant la lutte armée contre Israël.


Juillet 2005 : dans une interview au Corriere Della Sera, Mahmoud al-Zahar, à la question« Le Hamas est-il prêt à la coexistence avec Israël dans les frontières de 67 ? », la réponse du chef terroriste fut : « Non, jamais. Cela ne peut-être qu'une solution provisoire de cinq à dix ans. Au final, toute la Palestine sera musulmane et Israël disparaîtra de la surface de
la terre ».


Le Hamas dispose d’un concept, la Hudna, la « trêve », qui lui permet de suspendre un temps ses activités contre Israël. Mais l’acception islamique de ce terme – très bien comprise dans le monde musulman - signifie une suspension temporaire des actions hostiles, le but étant que « la lutte continue jusqu’à ce que le dernier Juif ait quitté le pays [toute la Palestine
historique, Israël compris] ». Même si cela doit « prendre des dizaines d’année » (Al-Rantissi,Haaretz et New York Times, 18 juin 2003).

Dans une interview à la radio Al-Shark (10 décembre 2005), Khaled Machal a déclaré :« Nous conduirons notre campagne nationale d’une façon qui bénéficiera à la situation palestinienne. De temps en temps, nous apaiserons la situation et parfois nous l’aggraverons ».

Le 30 août 2005, dans une interview à Newsweek, Al-Zahar précise que la poursuite de la lutte armée contre Israël était le bon choix et que le Hamas n’a nullement l’intention d’adopter une politique de négociations avec Israël, désirant au contraire rompre toute normalisation avec cet Etat.

Mahmoud Al-Zahar, dans une publicité télévisée en vue des élections législatives palestiniennes de Janvier 2006 (Télévision de l’AP, 17 janvier 2006), déclare : « Nous ne reconnaissons pas l’ennemi sioniste, ni son droit à être notre voisin, ni à rester [sur cette terre], ni à posséder un pouce de cette terre ».

Le Hamas bénéficie d’un soutien financier de pays arabes (en particulier l’Arabie-Saoudite et l’Iran) et exploite un large réseau d’organisations dites « caritatives » en Europe, en Asie auxUSA et au Canada. Son budget annuel est estimé à 30 millions de dollars dont 10 proviendraient de l’Iran et 10 de dons privés.En août 2003, le Président des États-Unis a appelé au gel des avoirs de cinq organisations de collecte du Hamas, actives en dehors des Etats-Unis, parmi lesquelles le CBSP dont le siège est à Paris.

La Fondation de Charité Al-Aqsa, qui fournit un soutien quasi-exclusif aux institutions du Hamas, compte parmi les principales fondations du Hamas en Europe. La fondation possède des locaux en Allemagne, Belgique, Hollande (déclaré illégal en juin 2003), et au Danemark.
La justice allemande a ordonné le 3 décembre 2004 à la branche allemande de la fondation decesser ses activités. La justice a décrété que la fondation soutenait et promouvait les attaques terroristes anti-israéliennes du Hamas et qu’il était impossible d’isoler les activités sociales du Hamas de ses activités terroristes.

Le Hamas est classée « organisation terroriste » depuis 2003 par les USA. L’UnionEuropéenne a mis les Brigades Ezzedin al-Qassam sur la liste européenne des organisations terroristes en 2001, puis la totalité du Hamas sur cette liste en 2003.Le 19 Juillet 2005, le Président Chirac a déclaré : « Le Hamas est une organisation terroriste qui ne peut être un interlocuteur de la communauté internationale tant qu'il ne renonce pas à la violence et ne reconnaît pas le droit à l'existence d'Israël. C'est la position de l'Union
européenne ; elle est sans ambiguïté et ne changera pas. »


ATTENTATS COMMIS PAR LE HAMAS

Le Hamas inaugure la vague d’attentats en Israël qui a suivi la signature de la déclaration de principes du 13 septembre 1993 entre Rabin et Arafat : le 24 septembre 1993, un Israélien est poignardé à mort dans un verger et l’attentat est revendiqué par la branche armée du
Hamas. C’est le 6 avril 1994 que commence la série des attentats-suicides, inaugurée par le Hamas avec une voiture-bombe à Afula (8 morts, 44 blessés).


13 avril 1994 : Attentat-suicide dans un autobus à Hadera. 5 morts.

19 octobre 1994 : Attentat-suicide dans l’autobus n°5 rue Dizengoff à Tel-Aviv. 22 morts.

22 janvier 1995 : Double attentat près de Netanya, faisant 19 morts. 1er attentat réalisé conjointement par le Hamas et le Jihad islamique.

25 février 1996 : Attentat-suicide à Jérusalem, bus n°18. 26 morts et 80 blessés.

30 juillet 1997 : 16 morts et 178 blessés dans un attentat-suicide au marché Mahane Yehuda à Jérusalem.

Entre fin 1996 et début 2000, le nombre d’attentats commis par le Hamas décroit. Ceci est dû notamment au fait que l’Autorité Palestinienne a emprisonné quelques 1200 terroristes. Mais l’AP les libèrera quelques jours avant le déclenchement de la 2ème intifada en Septembre 2000, et le niveau des attentats atteint son paroxysme.

1er juin 2001 : Attentat-suicide devant une discothèque à Tel-Aviv. 21 morts, la plupart adolescents, et 120 blessés.

9 août 2001 : Attentat-suicide à Jérusalem, à la pizzeria Sbarro. 15 morts et 107 blessés. Le Hamas organise une exposition à l’Université Al-Najah de Naplouse : reconstitution de l’attentat-suicide, parts de pizzas éparpillées, bouts de plastiques ensanglantés suspendus au plafond représentant les morceaux de chair des victimes.

1er décembre 2001 : Double attentat-suicide rue Ben Yehuda à Jérusalem. 11 morts, 180 blessés. Le deuxième terroriste s’est fait exploser quand les secours sont arrivés.

2 décembre 2001 : Attentat-suicide à Haïfa, 15 morts et 40 blessés.

6 février 2002 : 3 Israéliens tués par un terroriste qui est entré dans une maison au moshav Hamra et a tiré sur une mère et sa fille, après avoir tué un soldat réserviste.

27 mars 2002 : Attentat-suicide dans la salle à manger d’un hôtel de Netanya où 250 personnes dînaient à l’occasion de Pessah (Pâque juive). 29 morts. 19 personnes qui y ont trouvé la mort avaient plus de 70 ans.

31 mars 2002 : Attentat-suicide à Haïfa – 15 morts, 40 blessés.
10 avril 2002 : Attentat-suicide dans un car – 8 morts, 22 blessés

27 avril 2002 : Attaque armée. Trois hommes déguisés en militaires de Tsahal attaquent une implantation juive en
Judée. Un terroriste pénètre dans une maison et abat Danielle Shefi, 5 ans, qui s’était réfugiée dans un lit.


7 mai 2002 : Attentat-suicide à Rishon Letsion, dans une salle de billard. 15 morts, 55 blessés.
19 mai 2002 : Attentat-suicide dans la bande de Gaza – 3 morts, 59 blessés.

8 juin 2002 : Tuerie à Carmei Tzur. En pleine nuit, les terroristes tirent sur Eyal Sorek qui,
réveillé, s’élance hors de chez lui. Entendant des coups de feu, sa femme Yaël, enceinte de 9 mois, sort pour lui venir en aide et reçoit à son tour des coups de revolver dans la tête et dans le ventre. Eyal n’est pas encore mort, il agonise, et un terroriste l’achève à coups de hache.

18 juin 2002 : Attentat-suicide dans un bus à Jérusalem. 19 morts, 74 blessés.

31 juillet 2002 : Attentat-suicide à la cafétéria de
l’Université hébraïque de Jérusalem - 9 morts, dont le
Français David Gritz, et 85 blessés.

5 mars 2003 : Attentat-suicide dans un bus allant à
l’université de Haïfa. 16 morts, 55 blessés.

30 avril 2003 : Quelques heures après la nomination de
Mahmoud Abbas comme Premier ministre palestinien
(étape préalable à l’adoption de la Feuille de route par les
Israéliens et les Palestiniens qui aura lieu le 1er mai 2003),
attentat-suicide à Tel-Aviv, au café Mike’s Place (3 morts,
dont la Française Caroline Hass, et 60 blessés). Le Hamas
n’aura de cesse que de torpiller la Feuille de route.

2003 : Depuis la Feuille de route, les attentats du Hamas sont en constante augmentation, les tirs de missiles (Qassam notamment) venant s’ajouter aux attentats-suicides et autres attaques terroristes.

31 août 2004 : Double attentat-suicide dans deux bus à Beer Sheva. 16 morts, 100 blessés.

En 2004, de nombreux attentats-suicides du Hamas sont réalisés en coopération avec d’autres groupes terroristes : FPLP, Brigades des martyrs al-Aqsa, Jihad islamique.

29 septembre 2004 : Dorit, 2 ans, et Yuval, 4 ans,
meurent à Sdérot suite à l’explosion d’une
roquette Qassam tirée sur Sdérot.

Au cours de l’année 2005, le Hamas a été très impliqué dans des actions terroristes malgré la Tahdiya, la « trêve ». Le Hamas a été derrière l’attentat-suicide de l’arrêt d’autobus à Beersheba, le 28 août 2005. En Septembre 2005, des terroristes du Hamas ont enlevé puis assassiné un Israélien Sasson Nuriel.
Tout en évitant de revendiquer publiquement les attentats terroristes afin de préserver son
image en vue des élections palestiniennes de 2006, le Hamas a aidé d’autres groupes terroristes à commettre des attaques contre Israël

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